Noire, la vie méconnue de Claudette Colvin, de Tania de Montaigne

Dans les années 50, à Montgomery dans l’Etat de l’Alabama au Sud des Etats-Unis. Claudette Colvin a quinze ans. Elle est noire, dans un Etat qui impose la ségrégation raciale. Elle refusera de se lever dans un bus pour laisser sa place à une femme blanche. Elle sera arrêtée, jugée, condamnée… Elle fera appel mais toutes les charges ne seront pas levées. Maintenant, elle a un casier judiciaire et son avenir est compromis… Elle qui voulait devenir avocate voit son rêve s’écrouler.

C’était le 2 mars 1955, neuf mois avant le « cas Rosa Park ».

Rosa Park est devenu un symbole. Claudette Colvin, elle, est tombée dans l’oubli.

Ce court roman retrace son histoire, pour lui rendre hommage. De la lutte à l’oubli, comment le « cas Claudette Colvin » a pourtant fait avancer la lutte contre la ségrégation raciale, en ayant eu le courage d’aller au bout de ses convictions, en étant aussi la première à plaider « non coupable ». Ce n’était pas vraiment pour elle un acte militant, simplement un acte citoyen.

Un témoignage poignant et sensible écrit parfois un peu sous la forme d’un compte rendu, tout en interpellant le lecteur. L’ordre chronologique n’est pas toujours respecté. De plus, le récit mêle aussi le parcours d’autres personnalités très connues comme Rosa Park ou Martin Luther King… Pour les élèves qui connaissent mal ce pan de l’Histoire, ces va-et-vient historiques peuvent complexifier la lecture qui est très riche d’enseignement.

Une version adaptée en roman graphique existe également, ainsi qu’une version longue pour adulte.

Prenez une profonde inspiration, soufflez, et suivez ma voix, rien que ma voix, désormais, vous êtes noir, un noir de l’Alabama dans les années 1950.

La maison de Claudine, de Colette

Ode aux souvenirs

Colette nous offre ici des souvenirs d’enfance intenses, un passé marqué par une mère protectrice et aimante, à travers le personnage de Claudine. Colette a vécu à Saint Sauveur en Puisaye, un village de l’Yonne, à quelques kilomètres de chez nous et où l’on peut découvrir sa maison natale ainsi qu’un musée.

La maison de Claudine est un récit de souvenirs regroupés en nouvelles, un mélange de sensibilité et de poésie. Elle y évoque le temps qui passe, ses parents, la nature mais aussi le rôle de mère.

La Belle et la Bête, de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont

Salut les dévoreurs,

Les vacances de Noël arrivent à grands pas, il est donc temps pour moi de vous faire part de ma sélection de livres/ films pour ces deux petites semaines de break fort mérités !

Nous commençons donc par un conte «  la Belle et la Bête » avec une dernière adaptation cinématographique internationale  La Belle et la Bête, film de Bill Condon, sortie en 2017, avec Emma Watson et Dan Stevens.

Puis nous parlerons de la grande Trilogie Le Seigneur des anneaux (The Lord of the Rings) écrit par J. R. R. Tolkien paru en trois volumes en 1954 et 1955. Ils ont été adaptés plusieurs fois au cinéma, mais je ne vais retenir que la version réalisée par Peter Jackson de 2001, 2002 et 2003.

Et enfin, un manga : Naruto qui est un shōnen écrit et dessiné par Masashi Kishimoto qui a commencé à être publié en France en mars 2002. Il est adapté en plusieurs séries animées à partir de la même année, dont deux séries sortent du lot : Naruto et Naruto Shippuden.

La Belle et la Belle

Tout le monde a dans un coin de sa tête la petite ritournelle suivante:

«  l’histoire éternelle,

Qu’on ne croit jamais,

De deux inconnus,

Qu’un geste imprévu,

Rapproche en secret (…) »

Mais quelle est l’histoire qui a inspiré cette chansonnette ? Nooon, ne me dites pas le grand Walt !!! … Car Walt Disney en 1991 s’est inspiré d’un conte plus vieux que nos sociétés modernes pour créer son dessin animé indémodable.

Un peu d’histoire : Il y a quelques siècles, les contes étaient des histoires qui se racontaient à l’oral afin de former la jeune génération aux dangers du monde…

La Belle et la Bête ne fait pas exception, néanmoins, souvenez-vous de mon hypothèse des vacances de la Toussaint : J’avais soutenu que les livres ayant pour titre deux Noms reliés par la conjonction de Coordination ET terminaient forcément mal !

Bin j’ai trouvé un conte qui fait exception et c’est pour cela qu’il est de loin mon préféré…

Nous découvrons en premier le personnage de Belle qui est la cadette d’une fratrie de six enfants, trois frères et trois sœurs. Elle se distingue de ses frères et sœurs par sa grande beauté appelée prudemment « qualité » dans le livre.

Elle est la fille d’un riche marchand et là où ses sœurs sont gâtées et capricieuses, Belle préfère mener une vie modeste pleine de douceur. Elle a une passion… la Lecture.

Le lien qui l’unit à son père est très beau. Elle se sacrifie d’ailleurs pour lui en partant vivre dans la demeure de la terrible Bête suite à un malentendu.

La Bête… Parlons-en un peu…

C’était autrefois un  Jeune Prince doté d’une beauté exceptionnelle qui est puni par une fée.  

En effet, la fée lui reproche d’être vaniteux et inhospitalier quand, sous la forme d’une mendiante, elle lui demande l’asile pour une nuit. Afin de lui donner une leçon de vie, elle le condamne à avoir une apparence monstrueuse, qui va faire fuir toutes les femmes.

Mais si une jeune femme le voit au-delà des apparences et arrive à aimer l’homme au-delà de son physique de Bête alors il pourrait être libéré du sortilège…

Je vous passe la morale de l’histoire que vous traiterez plus profondément si vous choisissez une orientation littéraire après le collège. Faites juste un break en lisant cette jolie histoire d’amour de 150 pages, il ne sera jamais trop tard pour vous d’approfondir le côté philosophique si le cœur vous en dit.

Pour ceux qui ne veulent pas lire le livre, pas de panique ni de complexe !

Je vous conseille de regarder en version originale ou en famille, le film musical et fantastique La belle et la Belle réalisée par Bill Condon sorti en 2017. Ce film a connu un immense succès au box-office.

Cette version a été le sujet d’une grosse polémique, il a été interdit aux moins de 16 ans en Russie, censuré en Malaisie, retiré au Koweit – (des pays où l’homosexualité est punie par la loi) à cause de l’ambivalence volontaire du personnage Le Fou.

Je vous invite donc, lecteurs ou cinéphiles, à vous plonger dans cette histoire romantique et à ne jamais oublier dans votre quotidien que l’habit ne fait pas le moine quoiqu’on puisse parfois le dire sur les réseaux sociaux !

Bonne Lecture et bon film  les dévoreurs !

La version papier disponible au CDI
La version papier de la Belle et la Bête, disponible au CDI – conte adapté de Mme Leprince de Beaumont en 1757

Bilbo le Hobbit, de J.R.R. Tolkien

C’est la Toussaint, les journées raccourcissent et il pleut. Je n’ai aucune envie de mettre le nez dehors, j’ai la flemme de faire mes corvées ménagères. J’ai juste envie de rêver et passer le temps dans le canapé en pyjama. Alors, pour atteindre mon objectif de la journée, j’ai farfouillé dans ma bibliothèque et je suis tombée sur ce petit livre qui sentait le vieux et la poussière… Bilbo le hobbit. Il est tout petit et il a tout d’abord été écrit uniquement pour les enfants de Tolkien sans aucune volonté d’être publié. Car en 1937 le contexte géopolitique n’était pas top ( nous sommes entre les deux guerres mondiales) et l’Angleterre avait durement été touchée par la première.

Nous suivons un Hobbit, qui ressemble à un nain avec des pieds de géant marchant sans chaussures. Il vit douillettement sans trop forcer et ne veux absolument pas quitter son trou.

Mais suite à une dispute et un gros quiproquo, il est employé en tant que Maitre cambrioleur par une compagnie de nains.

Ils ont pour but d’atteindre une ancienne mine, qui était autrefois une ville souterraine prospère, mais cette dernière est maintenant squattée par un dragon qui dort sans complexe sur un lit d’or qui ne lui appartient pas.  

Le travail de Bilbo est de lui dérober l’Arkenstone, la pierre qui représente le cœur de la montagne.

Bref, sur le papier le voyage semble facile, mais dans cette aventure, ils vont devoir accepter leurs différences pour pouvoir sortir vivants de leurs rencontres avec des trolls, des gobelins, des elfes, des humains plus au moins bienveillants…. Et j’en passe.

J’ai vécu avec eux des batailles sanglantes et j’ai appris qu’un dragon n’aime pas qu’on le réveille. Il devient alors un tantinet irritable….

Ce livre est toujours classé comme 3e meilleur livre Fantasy de tous les temps  sur le site sens critique et il le mérite !!! Car la bonne nouvelle est que dès ta lecture finie, tu pourras regarder le film en anglais en comprenant toute l’histoire, car les dialogues ne sont pas compliqués.

Car ouiiiiii ce petit livre a été adapté en 3 films de plus de 170min chacun.

Alors regarde-les en anglais sous-titré anglais pour les courageux, anglais sous-titré français pour les moins courageux et impose le programme télé en disant : « Je travaille mon anglais du canapé » !

Je dois te laisser, car personnellement mon objectif de la journée est atteint : je l’ai passée à rêver d’aventure et de batailles épiques aux côtés de Bilbo le Hobbit vautré dans mon canapé !

Bisous les dévoreurs !

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Et pour compléter cette belle chronique, voici le lien vers la précédente chronique de ce livre sur notre blog :

La maison de Claudine, Colette

La maison du bonheur…

La maison de Claudine" Colette/ Très bon état/ 1991/ Livre poche

Avec La maison de Claudine, Colette a sans doute eu le besoin de revenir à ses racines, à ses années dans la maison familiale de Saint-Sauveur-en-Puisaye. Elle exprime ainsi avec force son attachement à son enfance, un souvenir presque douloureux puisqu’elle dépeint une maison qui est vide maintenant et dont les principaux occupants sont presque tous morts.
Ce retour aux sources lui permet de rendre un hommage fort à sa mère Sido. Une mère très active et très aimante, peut-être un peu trop protectrice. Mais reprocherait-on à une mère d’être ainsi ? Sido lui a transmis cet amour de la nature, des animaux. Très précise dans les détails, Colette revit avec nostalgie et émotion, son quotidien dans cette demeure de Puisaye. Et puis il y a le jardin qui occupe une place toute particulière. Un jardin que sa mère entretenait avec passion. On ne se lasse pas de le parcourir, de partager avec Colette toutes ces odeurs, ces couleurs qui font de ce lieu, un havre de paix. Colette est tel un peintre devant son tableau. Elle fait rejaillir toute la féérie de ce lieu, on a même l’impression d’entendre parfois les cris d’enfants. On reste suspendu à sa plume, on n’est plus de simples lecteurs , on a l’impression de faire partie intégrante du décor. La maison de Claudine est donc
un ensemble de recueils de souvenirs dont l’écriture, et le style harmonieux donnent une puissance particulière à la description des lieux et des personnages.

A découvrir à Saint Sauveur en Puisaye, à quelques kilomètres à peine de notre village, la maison de Colette ainsi que le musée, incontournables dans la région. L’atmosphère qui se dégage de ces lieux nous plonge de manière profondément étonnante dans les pages d’écriture de l’auteur.

http://www.maisondecolette.fr/

L’homme invisible, de H.G. Wells

L'homme invisible" H.G. Wells/ Très bon état/ Livre poche

C’est un homme bien étrange qui a passé la porte de l’auberge de Mme Hall à Iping. M. Griffin, c’est son nom, est emmitouflé des pieds à la tête, un bandage ne laissant rien apercevoir de son visage, des lunettes aux verres à angle droit cachant ses yeux, un nez rouge étrange. Pas un millimètre de peau visible … Il se dit homme de laboratoire menant des recherches en secret. Il vit dans la solitude et la pénombre de sa chambre avec des accès d’humeur incontrôlés… Mais qui est-il ? Les rumeurs vont bon train alentour ! Un malade atteint d’une maladie grave de peau ? Un accidenté défiguré ? Un nègre ? Un criminel en fuite ?

Qui n’a pas rêvé, au moins une fois, d’être invisible ? Voir ce qui se fait en secret, écouter ce qui se dit en notre absence ? L’homme invisible était pour moi une histoire acquise que j’étais ravie de (re?)lire… Quelle ne fut pas ma surprise en me rendant compte que je ne la connaissais en fait pas bien du tout ! Que le personnage de l’Homme invisible est loin d’être un personnage sympathique !

Le récit est construit sous forme de flash-back. La première moitié environ, raconte le présent de l’homme invisible lors de son arrivée dans l’auberge de Mme Hall, jusqu’à sa fuite et sa rencontre avec le Dr Kemp. C’est lors de cette rencontre que l’auteur prend prétexte du récit de M. Griffin au Docteur pour apprendre à son lecteur l’histoire passée du personnage. Les recherches du scientifique ont commencé sur un chat, puis il a servi lui-même de cobaye à son expérimentation. Le pouvoir que lui a conféré son invisibilité et le manque d’argent pour continuer à financer ses recherches l’ont fait sombrer dans une démence de plus en plus incontrôlable. Publié en 1897, ce roman est l’un des plus célèbres de son auteur et est entré dans la littérature dite classique et dans l’imaginaire de tous. Il a d’ailleurs fait l’objet de plusieurs adaptations cinématographique Le style est assez daté et littéraire et conviendra à des lecteurs assez aguerris. Un roman qui de par sa notoriété mériterait une analyse plus fouillée, mais tel n’est pas le propos de ce blog, alors je vous laisse découvrir par la lecture du texte la personnalité subversive de l’Homme invisible ! Jusqu’où va-t-il aller dans ses atrocités ?

Pourquoi pas moi ?, de Jeanne Benameur

Difficile d’être une fille de 13 ans, dans un monde où les garçons semblent toujours être plus forts. Yasmina ne rêve pas d’être une belle et populaire adolescente, mais plutôt une chef de bande. Alors, lorsque Elvis réussit « l’exploit » de poser une pierre rouge en haut du mur, Yasmina décide de relever le défi. Et de faire mieux, plus grand, plus haut, plus visible ! Mais son audace et son courage seront-ils plus grand que le danger que cela représente ?

Ce livre relate à travers l’histoire de Yasmina le mal-être de nombreux adolescents qui espèrent un jour sortir de leur vie quotidienne qui ne leur apporte pas satisfaction, en réalisant des actes dangereux qui leur donne l’impression d’exister. Un livre accessible à tous les adolescents avec des personnages auxquels on peut s’identifier ou que l’on pourrait côtoyer, même si les sujets traités sont plutôt survolés.

Une maman d’élève

Deux graines de cacao, de Evelyne Brisou-Pellen

La révélation…

Alors qu’il apprend qu’il a été adopté à Haïti, Julien, jeune Breton de 12 ans, se met en tête de retrouver ses parents biologiques. Il va alors fuguer de l’internat aidé par Gabriel, un élève aide-infirmier. Tous deux décident  de se faire engager sur un bateau de marchandises, direction Haïti. Julien laisse tout derrière lui, bien décidé à découvrir ses origines.

Julien est violoniste. A bord, il est chargé de divertir des hommes, des femmes et des enfants. Mais quel effroi quand il apprend que tous vont être vendus. Triste destin pour ceux qu’on traite comme du bétail. Gabriel, lui, doit veiller que les esclaves arrivent à bon port en forme. Les deux adolescents ne s’attendaient pas du tout à ce genre de traversée.

Une traite d’esclaves noirs cruelle, des conditions de captivité indignes. Julien et Gabriel vont prendre  conscience de la tragique réalité endurée par le peuple noir et de la cruauté d’hommes, qui n’ont de cesse de pratiquer ce commerce de malheureux subissant maltraitance et humiliation.

Deux graines de cacao est un roman à la fois initiatique et historique :

– Historique car il nous dévoile l’horreur vécue par tous ces esclaves noirs qui essaient de survivre aux atrocités infligées par des hommes qui se croient supérieurs. Le récit se passe en 1819 alors que la traite négrière est abolie en France depuis 1815. Julien, témoin de cette époque, va nous embarquer dans une longue et triste traversée.

– Initiatique car le jeune héros est en quête d’une identité.

Evelyne Brisou-Pellen nous emmène au plus près de la réalité des faits en employant notamment du vocabulaire de l’époque.

Nefertiti, reine d’Egypte, de Viviane Koenig

Les dévoreurs de livres d’Arsène, les chroniques des élèves du comité de lecture du blog

Néfertiti - Reine d'Egypte

Néfertiti a dix ans. Elle adore se promener sur les bords du Nil. Un jour, elle rencontre Aménophis. Ils deviennent très amis, au point de se retrouver tous les soirs au bord du Nil, leur petit coin de paradis… Mais lorsque le jeune frère de son ami, Thoutmosis, meurt, Néfertiti apprend que son ami n’est nul autre que l’héritier du trône d’Egypte. Elle peut alors lui révéler sans crainte qu’elle est la fille du scribe royal. S’ensuit alors une longue amitié, les faisant dépasser les limites de l’amitié, pour les emmener sur le territoire de l’amour…

J’ai beaucoup aimé ce livre. J’aime beaucoup l’Histoire, en particulier quand elle parle de mythologie. Je le conseille pour les fans d’Egypte Antique et d’Histoire.

Ô Aton, dès que tu brilles,
Que tu repousses les ténèbres pour lancer tes rayons,
On s’éveille, on se met sur ses pieds.
Les corps sont lavés, les habits passés
Et les bras sont en adoration devant toi…

Eléa, 5ème – membre des Dévoreurs de livres d’Arsène

Oniria, 2. Le disparu d’Oza-Gora, de B. E. Parry

Les dévoreurs de livres d’Arsène, les chroniques des élèves du comité de lecture du blog. 

Eliott a enfin atteint la très mystérieuse ville d’Oza-Gora, où vit le Marchand de Sable, la seule personne qui peut l’aider. Mais Eliott désespère : le Marchand de Sable lui a révélé l’origine du rêve mortel dans lequel son père est plongé depuis 6 mois. Et celle-ci se trouve à Ephialtis, la capitale cauchemar. Encore pire : la princesse Aanor dont il est secrètement amoureux est prisonnière de la Bête, dans cette même capitale ! Double mission pour notre héros ! De plus, la Bête est un dragon à trois têtes : une rouge, qui crache du feu, une bleue, qui crache de la glace, et une noire, qui crache des tornades gigantesques. Sans compter qu’il a toute la CRAMO ( la police d’Oniria) à ses trousses qui ne rêve que d’une chose : prendre son sablier. Ce qu’il faut éviter à tout prix, car sinon il restera coincé à Oniria !

J’ai adoré ce livre. Je le conseille à tous les nivaux à partir du CM2. Il est fantastique et intéressant car il donne un belle interprétation du monde des rêves. Il ravive aussi des souvenirs en parlant du Marchand de Sable.

Aanor était confiante : elle savait que le jeune Créateur était quelque part à Oniria, en train d’échafauder un plan pour la délivrer. Ce n’était qu’une question de temps.

Eléa, 5ème – membre des dévoreurs de livres d’Arsène

Et pour redécouvrir la chronique du tome 1 sur notre blog, c’est  ici