Meurtre mode d’emploi, 1. Présumée innocente, de Holly Jackson

Pippa Fitz-Amobi, une élève studieuse de Little Kilton a choisi pour son TPE (travaux personnels encadrés) de fin d’études de se replonger dans l’affaire de la disparation d’Andie Bell en exposant le rôle des réseaux sociaux et des médias dans les investigations policières. 

En 2012, Andie Bell, jeune fille modèle, est porté disparue, son corps ne sera jamais retrouvé. Quelques jours plus tard, son petit ami Salil Singh avouera le meurtre par sms avant de se donner la mort.

Secrètement, Pip veut prouver l’innocence de Sal et trouver le vrai meurtrier car elle ne croit pas à la version de la police. Pip se lancera alors dans une véritable enquête avec l’aide de Ravi (frère de Sal), pleine d’indices et de rebondissements. A mesure qu’elle avancera dans l’enquête et que la liste des suspects se rallonge; elle recevra des menaces… n’est-ce pas le signe qu’elle est toute proche de trouver la vérité ?

Règle n°1: Ne jamais rouvrir une affaire classée 

Dans ce roman policier, Pippa rouvre un cold case en reprenant tous les éléments de l’enquête d’il y a 5 ans et trouve des incohérences, ce qui la fait douter. Comment Salil, dont elle garde le souvenir d’un garçon d’une gentillesse incroyable, a-t-il pu tuer sa petite amie Andie Bell avant de se donner la mort ? Pippa n’y croit tout simplement pas !

Les personnages sont très attachants ! Pippa est une jeune fille intelligente, pertinente et droite dans ses baskets. Elle est aidée par Ravi, qui, lui aussi, veut absolument prouver l’innocence de son frère car depuis son suicide, lui et sa famille sont persécutés, étant la famille d’un assassin. Andie Bell quant à elle, est décrite comme une jeune fille modèle mais Pippa découvrira au fil de son enquête, que ce n’était pas vraiment pas le cas et qu’elle cachait de nombreux secrets !

Pippa trouvera de nombreux nouveaux indices en interrogeant les protagonistes de l’époque et la liste des suspects se rallongera (au point de se dire « je suis sûre que c’est lui l’assassin » plusieurs fois pendant la lecture !) … jusqu’au moment où l’étau se resserrera sur le véritable tueur !

Le fait que cette enquête soit écrite sous la forme d’un TPE avec des interviews, des articles de journaux, des rapports, etc, rend vraiment la lecture très fluide et prenante ! 

Un vrai coup de coeur pour ce policier avec une enquête très bien ficelée et pleine de rebondissements ! Le tome 1 se lit indépendamment, mais j’ai vraiment hâte de retrouver Pippa et ses nouvelles investigations dans le tome 2 (Meurtre mode d’emploi – disparition inquiétante).

This book kills, de Ravena Guron

Jess Choudhary, élève brillante mais boursière de la prestigieuse école pour riches Heybuckle, se retrouve malgré elle au coeur d’un scandale…

En effet, le populaire Hugh Henry van Boren est retrouvé mort au milieu des bois, et même si elle n’est pas coupable, elle est la suspecte idéale car l’assassin s’est inspiré d’une nouvelle qu’elle a écrite pour son cours de talents partagés.

Afin de sauver sa place dans cette école elle devra enquêter pour trouver l’identité du coupable. Mais rien ne sera facile pour elle, elle ne fait pas partie du club des privilégiés, et la menace se fait de plus en plus présente alors qu’elle reçoit des messages inquiétants qui lui disent qu’elle sera la prochaine sur la liste…

La liste des suspects est grande, entre la petite amie trompée, les jaloux de la popularité de Hugh et le Regiis Club qui influe sur l’école en secret ; Jess devrait démêler le vrai du faux sans y laisser la vie…

J’ai beaucoup aimé l’enquête de ce livre. Les personnages avancent au fur et à mesure pour éliminer les suspects potentiels et le dénouement réserve quelques surprises… La résolution de l’enquête tient en haleine, car les révélations et les indices arrivent tout au long du récit ce qui nous donne envie de tourner les pages.

J’ai par contre moins aimé les personnages, l’élève boursière issue d’une minorité, mal intégrée, et les élèves riches qui ont tous les droits font un peu cliché…

Un murder mystery jeunesse qui plaira sans aucun doute aux fans du genre !

Orphelins 88, de Sarah Cohen-Scali

(Le nombre 88 fait référence à la 8ème lettre de l’alphabet « H », 88 est donc le code de Heil Hitler)

Après la libération, Josh est retrouvé par les G.I américains errant dans les décombres de Munich. Il est alors emmené à l’orphelinat d’Indesdorf. Josh ne se souvient pas de son enfance, son bras gauche lui dit qu’il a été déporté car il a un numéro tatoué comme les juifs mais son bras droit a envie de se tendre pour crier « Heil Hitler » et se rappelle de la Napola, école militaire pour futurs élites nazis.

Alors qui est-il ? Est-il juif, est-il allemand ? C’est un long travail de reconstruction qu’entame Josh avec l’aide d’Ida, directrice dévouée de l’orphelinat et Wally, GI noir américain en proie à la discrimination dans l’armée américaine.

Comme on peut le deviner, ce livre n’est pas un livre facile à lire. Il raconte une partie souvent moins connue de la seconde guerre mondiale : la vie des enfants et des déportés qui ont survécu mais qui se retrouvent sans repères et souvent sans famille, éparpillés dans toute l’Europe.

Au fil des pages, nous suivons la quête d’identité du jeune Josh, qui ne sait plus qui il est… Dans l’orphelinat, il est complètement perdu et ne sait même plus vers qui se tourner, les Juifs ? Les Allemands ? Les Polonais ? Mais sa soif de vivre et de se construire un avenir en découvrant son passé est la plus grande. Josh découvrira qu’il est issu du programme Lebensborn*. Il ira jusqu’au bout de sa quête en traversant l’Europe à la recherche de sa véritable origine et sa véritable identité.

C’est un roman très touchant qui raconte une quête de soi…

Attention : Certaines scènes décrivent l’horreur des camps, la faim, des viols, de la violence… ce livre est donc réservé à un public averti !

*programme Lebensborn : programme nazi qui avait pour but de créer des aryens « parfaits » en kidnappant des enfants dans le but de les germaniser ou en favorisant la reproduction et donc les naissances entre personnes correspondants aux critères de la race aryenne)

Plein gris, de Marion Brunet

Emma, Elise, Sam forment un groupe d’amis très soudé dont le leader est le très charismatique Clarence. Chacun se tourne vers lui pour avoir son approbation, son affection. C’est celui qui décide et qui a toujours raison. A ce groupe vient s’ajouter Victor, nouveau demi-frère de Clarence.

Ces lycéens, fous amoureux de navigation vont vivre leur première grande aventure, partir sans parents sur un voilier, direction l’Irlande.

Mais ce voyage qui se voulait idyllique ne se passera pas comme prévu… le corps sans vie de Clarence flotte sans vie contre la coque du voilier et est remonté à bord.

Alors qu’une énorme tempête approche, les amitiés se brisent, les rancoeurs remontent et ce groupe d’amis à l’apparence parfaite ne l’est finalement peut-être pas.

Le livre alterne entre le passé, avec les souvenirs d’Emma sur la rencontre des membres de la bande et la formation du groupe -ces souvenirs qui vont arriver jusqu’au moment fatidique-, et le présent avec la lutte des amis contre la tempête et la mort.

Ce huis-clos est très poignant car les apparences sont parfois trompeuses, Clarence le leader charismatique est plein de défauts qui nous sont révélés au fur et à mesure des pages. Le drame est annoncé d’entrée et le dénouement se fera au fil de la lecture ce qui tient le lecteur en haleine.

Quand le corps apparaît à la surface, inerte, contre la coque du voilier, personne ne crie. Aucun d’entre nous. Comme si ça n’arrivait pas jusqu’à nos consciences. Comme si, en ne réagissant pas, on pouvait annuler la réalité du fait : c’est un cadavre qui remonte. Le cadavre de notre ami, pour être précise.

…voici les toutes premières lignes de ce roman redoutablement efficace… pour vous donner envie d’y plonger !

Un thriller psychologique qui ravira les jeunes (à partir de 14 ans) et les moins jeunes – lycéens comme adultes. 

La soupe du coeur, de Ben Davis

Alors que Jordan est à l’hôpital pour son traitement contre le cancer, sa voisine de chambre, Rio, un peu excentrique va l’entraîner dans la folle aventure des « mitsva ». Une mitsva est une sorte de commandement dans la religion juive mais aussi une bonne action.

Ensemble, ils feront la promesse du petit doigt, ils ont un an pour faire le plus de mitsva possible : il est interdit de passer son chemin si l’occasion de faire une bonne action se présente. Rendez-vous est pris dans un an pour voir s’ils ont réussi à changer le monde avec leurs bonnes actions.

Revenu dans sa ville d’adoption, Jordan, le petit nouveau du lycée se voit entraîné pour un déjeuner dans un parc avec des camarades, mais Jordan n’ose pas sortir la soupe que sa mère lui a préparé devant tout le monde va l’offrir discrètement à un sans abri qui vit dans une tente.

Cette petit action va chambouler la vie de Jordan et va déclencher une véritable soupe du coeur…

Un petit geste peut parfois tout changer

Ce roman m’a beaucoup touché car il est très émouvant. 

C’est un livre qui vous donnera du baume au coeur même si les sujets traités sont assez sérieux (cancer infantile, sans-abris, syndrome post-traumatique…)

Même si on sait que faire une bonne action ne changera pas le monde, il peut changer la vie d’une personne et le fait que ce livre soit inspiré d’une histoire vraie rend la lecture encore plus poignante….

Les personnages sont tous très attachants que ce soit Jordan, Rio mais aussi les sans-abris avec leurs histoires… Ce roman traite de l’amitié, de l’engagement et du rêve d’un monde meilleur…

Les mots de l’auteur des premières pages m’ont fait dire que j’allais adorer cette lecture, et cela n’a pas manqué !! en tant qu’adulte, j’ai dévoré ce livre dont la lecture est recommandée à partir de 8/10 ans mais qui plaira surtout aux moins jeunes…

Cher lecteur, … Est-ce qu’il t’arrive de regarder les infos ? Je ne te recommande pas cette activité. Après avoir eu ma dose quotidienne, je me sens toujours triste et angoissé. … Assailli par les mauvaises nouvelles, on se sent impuissant. … Laisse moi te dire qu’on peut agir malgré tout, chacun à sa façon. … Parfois il suffit de complimenter quelqu’un sur ses chaussures ou de lui prêter un livre qui pourrait l’intéresser… Voilà le sujet de ce livre, du moins en partie : comment changer les choses à la hauteur de nos moyens, comment faire preuve davantage de gentillesse pour, finalement, se laisser envahir par cet agréable sentiment de satisfaction qui réchauffe le coeur et l’âme autant qu’un délicieux bol de soupe.

The Curse – tome 1, de Marie Rutkoski

Kestrel, est une Valorienne, fille du renommé général Trajan, conquérant des Herranis qui sont devenus leurs esclaves.

Faisant partie de la haute société valorienne, c’est une privilégiée, mais, à l’approche de ses 17 ans, elle va devoir faire un choix qu’elle n’a pas envie de faire : se marier ou embrasser la carrière militaire voulue par son père…

Mais alors qu’elle se promène au marché avec son amie, sa vie va changer : un coup de folie lui prend et elle achète un esclave Herrani.

Arin n’est pas comme les autres, rebelle et peu docile. Kestrel va vouloir le percer à jour. Va alors s’engager une partie de croc et venin, jeu mélangeant stratégie et mensonges. 

Et si Arin n’était pas arrivé par hasard dans la vie de Kestrel ? Une rebellion se prépare et mettra en danger Kestrel et tout son peuple…

Chez les Valoriens, quiconque remporte une enchère s’expose à la malédiction du vainqueur… le vainqueur achète forcement pour un prix trop élevé l’objet de sa convoitise.

Ce livre est un parfait mélange de romance, de fantasy, d’intrigue et de trahison dans un univers du passé.

Le personnage de Kestrel est très attachant, fille au caractère fort, elle est très douée pour les stratégies, ce qui se révèlera un atout précieux au fil des pages.

Arin quant à lui est un personnage très mystérieux, on comprend vite que son passé cache beaucoup de choses, et on en apprend de plus en plus sur lui au fil de la lecture.

La romance entre les deux est très bien ficelée, les sentiments naissent au fil des conversations, et on comprend vite que ce sera un amour impossible entre un esclave et sa maîtresse.

Mais ce livre n’est pas seulement une romance, il est rempli de stratégie militaire et d’intrigues, la rébellion Herrani se met en place, et Kestrel aura du mal à choisir entre son peuple et son amour naissant pour Arin.

J’ai trouvé les premiers chapitres un peu lent, mais plus on avance dans le livre plus on a envie de tourner les pages !

Ce roman est le premier tome d’une trilogie mais peut se lire seul, même si la fin reste pleine de suspense pour Kestrel et Arin… Et j’ai hâte de lire les tomes suivants ! Une série qui devrait plaire à tous nos lecteurs de la série La sélection, mais pas seulement !

Hunting November, de Adriana Mather

Après avoir mis hors d’état de nuire le coupable du meurtre du tome 1 de la série (Killing November), November quitte l’Académie avec Ash pour partir à la recherche de son père, ce dernier étant en grand danger. En effet, Jag le tout-puissant et cruel dirigeant des Lions a mis sa tête à prix. 

November et Ash vont commencer leurs recherches à Pembrooke, ville d’origine de November. Ils y trouveront un indice laissé par son père. Indice après indice, une course contre la montre est lancée à travers l’Europe pour retrouver le père de November.

Mais les pièges seront difficiles à déjouer et les jeux d’alliances plus nombreux que jamais.

November, Ash et leurs alliés arriveront-ils à renverser le pouvoir de Jag ? Et arriveront-ils à temps pour sauver le père de November ?

J’ai adoré ce tome 2 ! 

Il y a beaucoup plus d’action que dans le tome 1, le fait que November et Ash sillonnent l’Europe rend leur quête encore plus intéressante.

L’histoire des clans est aussi approfondie et on comprend mieux la Strategia dans ce deuxième tome.

J’avais un peu peur de ne pas retrouver les académiciens du tome 1, mais surprise ! quelques-uns viennent s’ajouter à la liste des alliés au fur et à mesure des pages (je ne vous dis pas lesquels…) 

La fin est également incroyable, les stratagèmes sont révélés et on ne s’y attend pas.

Ce deuxième tome a tout pour passer un bon moment !

Killing November, d’Adriana Mather

November est une ado comme les autres, elle vit seule avec son père dans un petit village jusqu’au jour où son père décide de l’envoyer dans un mystérieux pensionnat car selon lui, elle et sa famille sont en danger.

L’académie Absconditi n’est pas une académie comme les autres… C’est une académie secrète réservée à l’élite de la Strategia, organisation divisée en clans qui régit, dans l’ombre, la politique du monde. Et les élèves ne suivent pas des cours normaux mais des cours pour devenir… des assassins hors pairs…

November se rend compte qu’on lui a menti toute son enfance, car elle n’a jamais entendu parler de cette organisation. Les parties de cache-cache dans les arbres, les lancers de couteaux et autres jeux auxquels elle jouait, enfant, avec son père n’étaient pas des jeux mais des entrainements.

Nova a du mal à s’intégrer, et peu de temps après son arrivée un meurtre est commis. Tout le monde semble vouloir l’accuser. A l’Académie règne la loi du talion (ce que tu fais on te le fera) alors November va tout faire pour prouver son innocence avec l’aide de sa colocataire Layla et de son frère jumeau Ash.

Mais comment trouver le vrai coupable quand tout le monde dans cette école est maître dans l’art du mensonge, de la manipulation et de la dissimulation ? A qui faire confiance ? November arrivera-t-elle à recomposer son passé et se faire une place dans la Stratégia ?

Au début, j’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire car j’ai été déstabilisée par le fait que November arrive un peu comme un cheveu sur la soupe dans une école pour assassins, escrocs et espions dont elle n’a jamais entendu parler. Mais passé ce cap, ce thriller est vraiment captivant : l’histoire de l’enquête et des clans est très bien ficelée.

En tant que lecteur on aussi envie de découvrir le passé et l’histoire de November et cela se fait au fil des pages ce qui rend le récit très prenant.

L’amitié naissante entre November, Layla et Ash est aussi très touchante. C’est avec leur aide que November va pouvoir avancer et tenter d’échapper au pire.

On referme le tome 1 sur une fin qui donne envie de connaître la suite… Alors, à bientôt pour le tome 2, qui clôturera cette duologie !

Une sonate pour Rudy, de Claire Gratias

Vacances pluvieuses = lecture 🙂

Voici donc une petite chronique pour cette rentrée de novembre !

Nicolas, ado de 15 ans, passionné de musique, arrive dans un nouveau collège. Sa mère et son beau-père ont dû déménager car ils ont des problèmes d’argent.

Nicolas, ne vit pas très bien ce déménagement, il ne pourra plus aller dans son ancien collège où il y avait des horaires aménagés pour la musique et il emménage dans un appartement sans jardin pour son meilleur ami, son chien Rudy.

Et les choses ne vont pas s’arranger… Nicolas va vite être le nouveau souffre douleur de Dylan, le gros dur du collège.

Entre violence physique et psychologique, Nicolas se voit entraîné dans le tourbillon toujours grandissant du harcèlement…

J’ai trouvé ce livre percutant, très réaliste et d’actualité.

Les personnages sont très attachants et on imagine sans peine le calvaire que subit Nicolas malgré le soutien que lui apportent ses amis.

Nicolas nous livre son témoignage sur le harcèlement qu’il subit, au travers d’un journal adressé à son chien Rudy et dès le début, on imagine une fin tragique… mais qu’en sera-t-il ?

Ginette Kolinka, survivante de camp de Birkenau

Adapté de Retour à Birkenau, de Ginette Kolinka avec Marion Ruggieri

Dans ce roman, Ginette Kolinka nous fait le récit de sa déportation à travers l’Europe jusqu’au camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz-Birkenau.

Le 13 mars 1944, sa famille se fait arrêter après avoir été dénoncée. S’en suit le voyage en train jusqu’au camp. Elle nous raconte alors l’horreur de ces camps ; entre la faim, le travail forcé, les coups et les humiliations.

Ginette sera ensuite transférée au camp de Bergen-Belsen, en octobre 1944, puis dans une usine, avant de retrouver une partie de sa famille à Paris en mai 1945.

Ce témoignage est à la fois glaçant et bouleversant. On ne peut qu’admirer la résilience de cette femme qui a vécu l’enfer.

On apprend dans ce récit que Ginette Kolinka attendra plus de 40 ans avant de raconter. Aujourd’hui elle va dans les collèges et les lycées pour témoigner.

Ce livre, à destination des élèves de 3ème, comporte un dossier pédagogique mais aussi une mise en perspective historique, une interview de Ginette Kolinka par des élèves de 3ème, un glossaire, et des cartes pour aider à mieux comprendre.